Les cinés-bouffe continuent en 2022/2023 : Associé à l'équipe du Hangar, le Cambuche propose diverses soirées au Hangar de la Cépière devenu Hangar Palace.

 

Ciné-bouffe au Hangar le 18 février 2023 - en présence de Daniel Bejarano :

 

Ciné-Bouffe au Hangar de la Cépière (8 rue de Bagnolet, 31100 Toulouse -Arènes)

 

en présence de Daniel Bejarano,

 

directeur du festival International de Cinéma Participatif Ojo de Sancocho de Ciudad Bolivar, Bogotá, en Colombie.

 

Le festival présente des films documentaires alternatifs tournés par des documentaristes vivant dans les quartiers populaires de la capitale colombienne. Ces films dérangent ceux qui ne veulent pas voir leur pouvoir contesté.

 

Daniel Bejarano entreprend une tournée en France à la recherche de soutien et pour tisser des liens afin de mettre en place des collaborations avec des professionnels européens.

 

Il sera à Toulouse du 16 au 21 février et présentera son action au Hangar le samedi 18 février 2023.

 

Programme  du Ciné-bouffe (participation 7€):

 

18h Apéro

 

19h Repas Sancocho

 

20h Projection de Courts-métrages documentaires suivie d'une discussion :

 

NAR HEB (NUESTRO TERRITORIO)
Documental/15min/full HD/Bogotá, Colombia/año 2013,VOSTF

 

Américo,son épouse Helena et sa famille appartiennent à la communauté indigène Wounaan. Ils nous font voir comment ils préservent leurs traditions et leur pensées ancestrales dans le contexte de la ville.

 

DESDE LA MEMORIA GERMINA LA ESPERANZA
Documental/ 26min/Ciudad Bolívar, Bogotá, Colombia/HD/año  2014, VOSTF

 

Ciudad Bolivar est un ensemble de quartiers au sud de Bogotá, peuplé par les victimes du conflit que vit la Colombie depuis plus de 50 ans. Depuis 1990 des milliers d'enfants et de jeunes ont été assassinés. La violence s'est encore accrue dans les années 2010.

 

Détours - atajos (27 mn)

 

Entre la France et la Colombie, entre Clichy-sous-Bois et Ciudad Bolivar, deux groupes d’adolescents, habitants des périphéries, prennent la parole pour parler de leur ville, rapporter leurs récits, leurs errances et leurs espoirs.

 

LE CAMBUCHE ET ACTION POETIQUE DE TOULOUSE

VOUS INVITENT

MERCREDI 9 JUIN 2021

CINE BOUFFE AU HANGAR

8 RUE BAGNOLET, METRO ARENES

APERO DINATOIRE A 18H, FILM 19H30                                5 EUROS

 

 

Colombie, pourquoi protestons-nous?

Film réalisé par Vice en espagnol, 20min, STVF

La semaine dernière, les violentes manifestations qui ont éclaté en Colombie ont engendré des critiques internationales après que la police ait tiré contre des manifestants à Cali et dans d’autres villes, provoquant la mort d’au moins 19 personnes. Ces manifestations ont lieu un an après quelques-unes des plus grandes et violentes manifestations qu’ait connu la Colombie depuis des décennies. Elles avaient démarré en 2019 et mené à la mort d’un manifestant adolescent nommé Dilan Cruz, et sont ensuite montées en puissance jusqu’en 2020. C’est la conséquence d’un conflit armé qui a duré des décennies, d’un processus de paix qui semble s’effondrer, d’une crise économique imminente et d’un gouvernement aux inclinations conservatrices d’extrême droite qui n’a pas pu apaiser la frustration croissante.

Dans cet épisode de « Pourquoi protestons-nous ? », transmis à l’origine en janvier 2021, VICE s’est incrusté parmi les jeunes manifestants à Bogotá pendant les semaines qui ont suivi les affrontements mortels semblables qui ont eu lieu en septembre 2020 et se sont soldés par la mort de 14 manifestants.

Appui de la communauté colombienne depuis Toulouse

Montage de courts métrages, photos, chants et danses avec des artistes colombiens

Action poétique, France, Toulouse 2021, 30min, VF

La communauté colombienne de Toulouse s’est réunie depuis début mai dans les rues et places de la ville rose pour exprimer sa solidarité face à la lutte.

Depuis lors, la communauté rassemble le maximum de signatures pour appuyer un communiqué SOS Colombie qui sera adressé aux plus hautes autorités françaises pour faire pression sur le gouvernement colombien. En parallèle s’est mise en place une collecte de fonds pour appuyer directement la résistance en Colombie.

 

Depuis Toulouse nous soutenons la grève nationale en Colombie: 

Des étudiant•e•s, des migrant•e•s, des travailleurs•euses, des expatrié•e•s et des exilé•e•s de Colombie se sont rassemblé•e•s à Toulouse comme dans d'autres parties du monde entier pour soutenir la mobilisation à la grève nationale en Colombie et dénoncer les abus de pouvoir du gouvernement, des forces armées, de la police et surtout de l'Escouade Anti-émeute Mobile "ESMAD" qui ont tué plus de cinquante personnes en trois semaines et fait disparaître des centaines d’autres dans un scénario d'impunité totale.

 

 Toulouse, sit-in du 05 mai 2021 Toulouse, rassemblement du 08 mai 2021

Toulouse, rassemblement du 15 mai 2021

    

 

Video_Manif_15Mai.MOV



Vous pouvez nous aider en faisant circuler le texte de la page suivante, en l’imprimant et en le faisant signer à votre entourage militant, votre famille et vos amis pour continuer de dénoncer la situation en Colombie, merci !!!

 

Pour nous écrire et nous soutenir: actionpoetiquetoulouse@gmail.com

sur FB: https://www.facebook.com/search/top?q=colombianos%20en%20toulouse

 

Appel urgent à la solidarité internationale

FACE A LA VIOLATION DES DROITS HUMAINS ET DU DROIT À LA PROTESTATION SOCIALE EN COLOMBIE

Nous, la communauté colombienne de France, manifestons notre préoccupation face à la violation des droits humains qui a été généralisée dans tout le territoire colombien.

Depuis le 28 avril 2012, les citoyen.ne.s colombien.ne.s manifestent contre les projets de loi de la réforme fiscale, de la réforme de santé publique et de la réforme des retraites ainsi que pour  le respect des Accords de Paix signés en 2016. Ils dénoncent avec force la corruption et les assassinats massifs des leaders sociaux, hommes et femmes, à travers tout le pays.

Depuis lors, la réponse du gouvernement a été la répression à travers les forces militaires, donnant lieu à une vague de massacres en exerçant systématiquement la violence contre la population.

Cette répression a été particulièrement sanglante dans la ville de CALI où la force policière a tué 29 personnes (51 personnes au total au niveau national), en plus de 9 membres des communautés indigènes blessés par des civils lourdement armés (paramilitaires) et sous le regard complice de la police. De même, des agents de la Police ont été dénoncés pour meurtres, lésions oculaires, centaines de disparitions forcées, violences sexuelles, tortures et autres graves agressions contre les manifestants.

Nous demandons au Gouvernement National, dirigé par le président Iván Duque, d’adopter des protocoles afin d'éviter l’usage excessif de la force. Les institutions gouvernementales sont responsables de faire respecter la loi et ont l’obligation de protéger la vie, en plus de garantir la sécurité de toutes les personnes dans le cadre d’une manifestation sociale et pacifique.

 Nous appelons à la démilitarisation et à l’ouverture de chemins de dialogue, en recherchant la négociation avec les secteurs sociaux, les jeunes, la Minga Indigène et le Comité National de grève.

Nous appelons à l’aide internationale pour faire cesser cette terrible violation des droits humains. Nous demandons aux organisations de défense de droits humains et aux organisations de coopération internationale françaises de s’adresser au gouvernement colombien afin d’exiger le respect de l’Etat de droit, des libertés publiques et individuelles.

Nous sollicitons les responsables politiques français pour demander à l’État colombien le respect des droits à la personne comme condition pour le soutenir politiquement et financièrement.

La communauté internationale ne peut pas être une complice silencieuse de ce massacre.

Toulouse, le 20 mai 2021.

 

Ciné-Bouffe de L'Ouvreuse vendredi 7 février 2020 :

Ciné-Bouffe de L'Ouvreuse mercredi 19 juin 2019 :

 

En ce mois de juin pour finir la saison L'Ouvreuse vous propose de prendre un bain de Révolution au cœur de la patrie des gens Intègres.

 

Nous aurons le plaisir de recevoir Galadio Parfait Kaboré et son premier film documentaire tourné pendant les mouvements au Burkina Faso en 2014, des manifs aux réunions jusqu'à la destitution du gouvernement, ensemble le peuple à fait la Révolution. Le film est un grand moment de cinéma direct, un témoignage inestimable pour l'histoire et un moment d'exaltation tant cette ferveur est enthousiasmante.

Prenons en de la graine .....

 

Et surtout ne ratez pas cette projection avec Galadio Parfait Kaboré qui  nous faire le plaisir d'être avec nous pour la soirée. Nous mangerons une spécialité Burkinabé et pourrons discuter avant et après le film.

 

Ciné-bouffe le 15 Mai au Hangar

Ciné-bouffe le 24 mars dans le cadre de Cinélatino

El Cambuche vous invite à un ciné-bouffe au hangar le mercredi 12 décembre 2018

Cela fait bien longtemps maintenant que l'enseignement est devenu un enjeu important pour les entreprises. D'un coté désengagement de l'Etat, de l'autre la perspective de bénéfices importants pour les investisseurs privés, sans parler du formatage de la pensée au travers d'une éducation de plus en plus tournée vers les besoins des entreprises, la situation en Amérique Latine comme en France ou ailleurs dans le monde a tendance à s'aggraver.

 

À partir des luttes étudiantes au Chili en 2011 contre le modèle néo-libéral de l'enseignement supérieur au travers de 2 documentaires et avec les réflexions de l'intellectuel algérien Omar Aktouf, nous essaierons de réfléchir ensemble aux formes de cet envahissement de la logique économique dans l'éducation et aux moyens d'y faire face.

 

Apéro à 19h, repas à 20h, projection-débat à partir de 21h.

PAF 5 euros

 

Venez nombreux-ses

 

Ciné-bouffe de l'Ouvreuse le 22 novembre 2018 :

 

Ce ciné-bouff est l'occasion de recevoir Paul Chiesa le réalisateur et Solange Barrachina qui a composé la musique de ce documentaire sur le mouvement indépendantiste Catalan et les évènements autours du référendum d'octobre dernier.

Ciné-bouffe le mercredi 10 octobre au Hangar

 

Nous vous proposons deux documentaires sur le mouvement zapatiste et ses alentours.

 

Le premier film se situe dans le nord est du Chiapas dans une communauté tseltal proche de Palenque, le célèbre site maya. Un des anciens de la communauté nous retrace le long combat des paysans pour se réapproprier les terres dont ils avaient été dépossédés depuis plus de deux siècles ; jusqu'à, dit-il, " la révolution zapatiste ", quand les grands domaines sont occupés collectivement. La vidéo s'achève par l'intervention du sous-commandant Galéano lors de la réunion pour le 15ème anniversaire des caracoles zapatistes à Morélia.

(Les caracoles sont le siège des conseils de bon gouvernement - junta de buen gobierno, JBG - qui coordonnent les activités d'une région dans les domaines de l'éducation de la santé...)

 

Le deuxième film est un reportage sur la "1ère rencontre internationale politique, artistique, sportive et culturelle des femmes qui luttent" qui s'est déroulée pendant 3 jours au caracole de Morélia à partir du 8 mars 2018. Voici les paroles de "l'insurgée Erika" qui, au nom des femmes zapatistes, souhaite la bienvenue aux milliers de femmes qui ont participé à cette rencontre dans laquelle les hommes n'étaient pas invités . « Nous avons pensé que ce devait être juste entre femmes pour pouvoir parler, écouter, regarder, fêter sans le regard des hommes, et peu importe que se soit de bons ou de mauvais hommes. L'important, c'est que nous sommes des femmes et nous sommes des femmes qui luttons, c'est à dire que nous ne nous contentons pas de ce qui se passe et chacune agit selon ses manières de faire, son temps, son lieu. Elle se rebelle, s'énerve et fait quelque chose."

 

Nous espérons que ce programme sera l'occasion de riches échanges.

 

Ciné bouffe le mercredi 13 juin au Hangar

 

Au programme : Apéro à partir de 19 h30, repas convivial à 20h (PAF 5euros) suivi de la  projection du film "L'Education en mouvement" , un voyage en Amérique latine à la rencontre de pratiques éducatives émancipatrices.

 

Une façon de nous interroger sur les pratiques existantes ou à créer ici et d'initier ainsi un cycle sur l'éducation dans les mois à venir.

 

 Toutes nos excuses pour cette invitation tardive !

 

En espérant vous voir nombreux(ses)!

 

El cambuche

Ciné bouffe de l'Ouvreuse le 9 mai au Hangar :

 

En ce joli mois de mai qui commence sur des chapeaux de roue, L'Ouvreuse vous invite à venir voir un film en exclusivité le mercredi 9 mai à partir de 19H30 au Hangar de la Cépière.


Non (c'est le titre du film) est un film complètement déjanté, jouissif et transgressif, drôle et dure bien ancré dans nos réalités, c'est en tous cas assurément un film à ne pas rater.

 

 

Pour l'occasion Eric Destout un des comédien du film membre du Petit Théâtre de Pain qui est au centre de ce projet sera avec nous. 


Au menu, nous hésitons encore entre une ambiance grillades de manifs ou plats plus élaborés mais ne vous en faites pas il y en aura pour tout le monde, végétariens, carnivore, végan vous aurez de quoi vous restaurer.

Nous espérons votre présence pour un moment de chaleur autour d'un film au sujet plus que brûlant.

A mercredi

Ciné-bouffe le 11 avril 2018 au Hangar :

 

En solidarité avec le mouvement des étudiant-e-s en lutte, le collectif El Cambuche vous invite à un ciné-bouffe ce mercredi 11 avril à partir de 19h30 au Hangar de la Cépière.

 

Au programme, repas convivial à 20h et projection du film "Lute como uma menina" (Bats-toi comme une fille) de Flávio Colombini et Beatriz Alonso, suivie d'une discussion.

 

Ce documentaire raconte l'histoire des filles qui ont participé au mouvement lycéen qui occupait les écoles et qui sont descendues dans la rue pour lutter contre un projet de réorganisation scolaire imposé par le gouverneur de São Paulo prévoyant la fermeture de près d'une centaine d'écoles.

 

Les filles racontent leurs histoires face aux figures d'autorité, de la lutte pour l'autogestion des écoles à la violence débridée de la police militaire. Une importante réflexion sur le féminisme, le modèle éducatif actuel et le pouvoir populaire.

 

Nous relayons le message des étudiantEs mobiliséEs du Mirail :

 

« Depuis presque quatre mois, un mouvement de grève des étudiantEs et des personnels se construit à l’université de Toulouse - Le Mirail (Jean Jaurès) pour protester contre le projet de fusion de plusieurs établissements d’enseignement supérieur et le plan étudiant. En effet, les projets du gouvernement en matière d’enseignement vont modifier de façon importante tout le système éducatif. Le droit à la poursuite d’études n’est plus garanti (comme on a pu le voir avec la loi sélection en Master et maintenant avec Parcoursup), les jeunes ne pourront plus choisir librement leur orientation et la loi de la concurrence généralisée va s’appliquer immanquablement entre les universités, les filières et même les étudiantEs. À l’entrée en L1, les enseignantEs vérifieront le dossier scolaire du lycée, des CV et autres lettres de motivation, l’expérience professionnelle (!) et pourront exiger l’obtention du BAFA pour faire STAPS, des tests de connaissances sous forme de QCM avant d’entrer en droit ou le fait d’avoir un bac S pour faire de la psychologie, alors même que ces matières ne sont pas enseignées au lycée ! Le mouvement que nous construisons actuellement est majoritaire, n’en déplaise à certainEs. Il est majoritaire car perçu comme légitime auprès de beaucoup de gens, jeunes et moins jeunes. Notre combat est celui pour l’accès de touTEs au service public de l’enseignement supérieur. Il est profondément égalitaire et s’inscrit dans une démarche de diffusion des savoirs et d’accès à la connaissance et à la culture du plus grand nombre, en particulier les enfants des classes populaires. Le caractère majoritaire de notre mouvement, nous l’avons gagné par notre détermination, notre rigueur dans les argumentaires et notre force de conviction. Personne ne peut nous l’enlever. C’est pourquoi nous adressons aujourd’hui par voie de presse le message suivant : à touTEs celles et ceux qui défendent le droit à l’éducation publique et gratuite, qui refusent les logiques libérales contre nos droits les plus fondamentaux (se nourrir, se loger, s’instruire, se soigner, se déplacer, se divertir) et qui ne se résignent pas face à la situation, notre combat est aussi le vôtre ! Alors rejoignez le mouvement, soutenez le, donnez lui de la visibilité et venez participer à nos prochaines actions, dès la semaine prochaine, mais aussi le 19 avril et le 1er mai. Enfin, passez nous voir à l’université, en grève et occupée, pour nous rencontrer, échanger et comprendre ce que nous faisons. Nous ne sommes ni des terroristes, ni des utopistes. Nous voulons simplement construire autre chose, et nous avons au moins le mérite d’essayer ».

 

 

Au plaisir de vous retrouver pour cette soirée de projection mercredi 11 avril à partir de 19h30

 

 

 

8 rue de Bagnolet, 31100 Toulouse (Métro Arènes)

 

Ciné-bouffe, le 14 février 2018 :

 

Le mercredi 14 février, le Ciné-Bouff de l'Ouvreuse continue le cycle sur le nucléaire.
Ce cycle initié avec la projection de la Supplication en novembre dernier, vous propose le 14/02  à partir de 19H30 une soirée autour de deux films documentaires réalisés par la  résistance qui est née à Bure dans la Meuse contre le projet Cigéo de l'ANDRA.( agence nationale de traitement des déchets nucléaire, issue du CEA commissariat à l'énergie atomique).

 

Le premier film " TOUS N'ONT PAS DIT OUI"de Alain Ries, présente le projet et le début de la lutte de 1994 jusqu'en 2007, il sera suivi d'un deuxième film réalisé par le collectif en résistance et témoigne des derniers évènements de la lutte sur 2016 et 2017.

 

La soirée est en soutient à la lutte et à la résistance à Bure.  

 

 

 

Bure à en effet l'immense privilège d'avoir été choisie par le CEA  pour accueillir un très grand site d'enfouissement de déchets nucléaires hautement dangereux à vie très longue, en creusant des galeries souterraines sur 15km2 qui seraient ensuite bouchées pour l'éternité. Bien sur il faut y accueillir aussi le laboratoire de l'ANDRA et le fleuron du monde nucléaire qui compte s'installer là avec leur antichambre du nucléaire pour poursuivre leurs affaires.

 

A Bure on ne veut pas se faire empoisonner ni pour des millions ni pour des emplois.

 

 

 

Le Collectif de Soutient à Bure qui s'est crée à Toulouse depuis peu sera présent, nous feront le point sur la situation actuelle là-bas, l'occupation du bois, les procès en cours, et comment soutenir cette lutte.

 

le 11 février 2018 au Hangar :

 


Projection – Échanges  – Tables de presse – Repas – Bar et Concert !

 

Les Trois Passants, El Cambuche, Bruits de tôles et des Toulousaines anti-carcérales vous invitent à la 4ème journée de rencontres, d’échanges et de débats "Des femmes face à la prison" : regards croisés, vécus et luttes.

 


Rencontre - débat autour du documentaire anti-carcéral réalisé au Mexique « Ils nous ont volé nos nuits » tissé collectivement avec 11 femmes mexicaines. Débat en présence de femmes ayant vécu la prison en France.

 


La rencontre est ouverte à tous et toutes, l'idée étant de partager et de connaître des réalités diverses, des vécus, des expériences et luttes contre la prison, l'enfermement, l'isolement, le système carcéral… 

 



Le Dimanche 11 février 2018 - À partir de 12H30

Au HANGAR
8 bis rue de Bagnolet
31100 – TOULOUSE
métro : Arènes

 



Cliquez ici pour télécharger le flyer (programme): https://liberonsles.files.wordpress.com/2018/01/flyerfemmestoulouse3.pdf

 

 

 


Au fil du temps nous avons observé la lutte incessante, la résistance et le travail que mènent les femmes dans et hors les prisons, comme tisserandes de la mémoire contre l’oubli, mais aussi comme porteuses d’une lutte infatigable contre le système judiciaire et pénitentiaire. Cependant, et y compris dans nos propres espaces leur existence et leur combat sont méconnus. C’est pourquoi, dans ce documentaire, sans fabriquer une vision innocentante et victimisante, nous avons ouvert un espace de paroles à ces femmes confrontées à l’enfermement, à l’humiliation, à la maltraitance du corps, à la torture sexuelle, au harcèlement, à la stigmatisation et à l’hypothétique “justice”. Elles nous rappellent la valeur de la lutte, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des geôles. Nous en parlerons ensemble.

Pour faire miroir, échanger et partager des réflexions, des femmes ayant vécu la prison en France participeront à cette journée. C’est à travers leurs voix et leurs réflexions que nous voulons aborder ces sujets et trouver les chemins, les espaces, les moments et les actions pour la liberté.

Au Programme :

À partir de 12H30 – Accueil et Brunch à prix libre

À 14H00 – Présentation de la journée et présentation des intervenantes / Rencontre - débat autour du documentaire anti-carcéral réalisé au Mexique « Ils nous ont volé nos nuits » tissé collectivement avec 11 femmes mexicaines. Débat en présence de femmes ayant vécu la prison en France.

À 14H30 – Projection du documentaire : « Ils nous ont volé nos nuits », documentaire collectif filmé récemment au Mexique comme un outil de lutte anti-carcérale et contre l’oubli. (1H10)*
 

À 16H00 – Débats et échanges : Comment la prison s'empare de la vie des femmes ; discrimination systématique, rôles assignés, appropriation du corps / Luttes individuelles et collectives ; l'importance de tisser des réseaux anti-carcéraux pour faire face à l'enfermement, la taule, l'isolement, la société carcérale…

À 18H30 –  Apéro – Repas  et Concert  avec:
- Fandango Mano y Vuelta « Son Jarocho » venu du Golf du Mexique et nourri d'influences européennes, africaines et indigènes.

Brève présentation des intervenantes :

- Annelyse Benoit : « incarcérée fin des années 80 durant quatre ans dans le cadre des diverses procédures contre Action directe. À ma sortie, avec d'autres ex-prisonnier-e-s et prisonnier-e-s, création de la Commission pour l'organisation des prisonniers en lutte (Copel), collectif anti carcéral qui éditait le journal "Rebelles". Par la suite, mon engagement politique et ma solidarité envers les militants emprisonnés m'ont amenée à visiter plusieurs d'entre elles/eux incarcérés pour de longues peines. La solidarité à perpétuité. C'est encore le cas aujourd'hui. »

- Christine Ribailly : 47 ans, enfin sortie le 22 décembre 2016 après quatre années de dédale pénitentiaire (17 transferts dans le nord de la métropole). Christine était incarcérée depuis novembre 2012 pour diverses condamnations d'outrages et rébellions envers des flics et des matons. Rentrée pour quelques mois, elle est finalement restée plus de quatre ans en détention dont plus de la moitié en quartier disciplinaire et beaucoup en isolement. En prison, cette bergère se rebelle contre l'autorité pénitentiaire, et en paye le prix : 17 condamnations judiciaires et près de 120 procédures disciplinaires. Tout son dossier crie sa haine de l'institution pénitentiaire.

- Sylvia : « 41 ans, fille de braqueur issu du gang de la banlieue sud de Paris, femme de prisonnier et ex prisonnière .... une irrécupérable aux yeux de la société .... une enfermée dehors par procuration ou une délinquante au casier judiciaire avec mention puisque j'ai, parmi d'autres chefs d'inculpation, l'association de malfaiteurs ... La prison ? 34 ans de ma vie, quand je suis rentrée en détention  je la connaissais déjà, pourtant je n'avais visité que mon papa et en m'enfermant on ne m'a appris qu'une chose : ne plus en avoir peur mais la combattre en dénonçant sans tabou ce système carcéral qui détruit beaucoup....»

Ils nous ont volé nos nuits » [ Nos robaron las noches ]

 


Ce documentaire collectif, réalisé au Mexique en octobre 2016, est un outil de lutte anti-carcérale. C’est un documentaire fait maison, avec nos propres moyens, par des personnes solidaires et non spécialistes. Sa réalisation a été rendue possible grâce à la complicité de mères, de compagnes, de femmes solidaires, de filles de prisonnier.e.s et d’ex-prisonnières, et la participation de La Voix des Zapotèques Xiches en Prison de Oaxaca, du Groupe de Travail Nous ne sommes pas tous et toutes là du Chiapas, de La Croix Noire Anarchiste de Mexico et du groupe Les Trois Passants de Toulouse.

 


Dans ce documentaire, 11 femmes témoignent de la manière dont la prison s'empare de leurs vies. Elles expriment leurs vécus, leurs luttes et comment elles en sont arrivées à une position anti-carcérale.

 
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Nous profitons de cette invitation pour relayer les évènements suivants:

 
Pièce de théâtre "Pisser dans l'herbe". Mise en scène : Marie-Paule GUILLET, Interprétation : Philippe GIAI-MINIET, Texte de Christine RIBAILLY et Philippe GIAI-MINIET

 
La pièce dresse un tableau qui interroge la justice, l'administration pénitentiaire et les modes répressifs préconisés depuis toujours.


Suivie d'un débat avec Christine RIBAILLY


- À Toulouse le 9 février à 19H30 : Organisé par La Troupe de théâtre « Les Morphaloups » à la Maison de quartier de Bagatelle, 11 impasse du bachaga Boualam, Toulouse - Métro ligne A / Bus 13 : arrêt Bagatelle (Prix Libre)

 

- En Ariège, 2 Dates : Mercredi 14 février 2018 à 20H, Salle des fêtes du Maz D'azil (l'Entrée est dans la mairie), MAS D'AZIL- Ariège

et
Jeudi 15 février 2018 à 20h30, Au Château Rose, NESCUS - Ariège (Buvette - Info-kiosque)

 

- À Gaillac le 16 février à 20h : Organisé par Le Comptoir du Chinabulle, 47 rue du Château du Roi , 81600 - Gaillac (Prix Libre)

 

Le 1er décembre 2017 à partir de 19h30 au Hangar : Luttes et résistances contre les multinationales au Guatemala

Ciné-Bouffe au Hangar le 25 octobre à 19h

Soirée de soutien, Ciné-bouffe mercredi 31 mai 2017 :

 

 

Soirée de soutien pour la Colombie organisée par le collectif La Piragua

 

En collaboration avec El Cambuche, Mingartes, Le Hangar et Mi Passion, pour récolter des fonds qui seront utilisés pour aider les victimes, ainsi que pour la reconstruction de la ville.

 

 

Le collectif La Piragua organise une soirée solidaire pour la ville de Mocoa à Putumayo, Colombie, touchée par une gigantesque coulée de boue qui a dévasté la ville le 31 mars dernier.
La tragédie a fait officiellement 323 morts, mais plus de 100 personnes ont été reportées disparues.

Nous vous invitons très chaleureusement à venir à cette soirée animée en première partie par Chencha et le Boiteux, groupe de musique autour de la salsa, el bolero et le son cubano-salsa.

 

A déguster l’Ajiaco, soupe colombienne, composée de plusieurs sortes de pommes de terre, légumes et poulet (pour les végétariens une option sans viande est prévue) qui accompagnera la découverte du film Tantos, tan invisibles et un débat juste après la projection :

 

 

"Au milieu des Caribes, à 2 heures de Cartagena, se dresse un quartier de murs colorés et d'enfants partout. Le canotier prévient qu’il s’agit de l’île la plus peuplée au monde et les touristes étonnés prennent des photos et repartent.

 

Santa Cruz del Islote : Tantos, tan invisibles est une invitation à descendre du bateau, acheter un soda chez Edilce, danser la « champeta » dans la discothèque « Niño Grande » et finalement à se laisser surprendre par la réalité inespérée."

 

 

 

Apéro à partir de18H

 

Concert à 18H30

 

Repas à 20H (PAF 5€)

 

Projection à 21H

 

 

Ciné-bouffe mercredi 18 janvier 2017 :

Ciné-bouffe Mercredi 30 novembre 2016 :

Dans le cadre du festival Latinograff :

 

« Sobre las olas » (Traduction : Sur les vagues...), ce sont plusieurs associations de France et d'Argentine réunies autour d'un Festival de cinéma transatlantique. Le périple maritime et cinématographique débutera en octobre 2016, à Douarnenez (Bretagne). Un bateau prendra le large, avec à son bord un équipage prêt à mettre sur pied un festival du film social et politique en mars 2017, à Buenos Aires (Argentine). https://festivalsobrelasolas.wordpress.com/

 

Entrée Repas + Projection : 5 €

 

Repas à 20h puis projection de 3 films autour de l'environnement, des conséquences de son exploitation outrancière et des luttes pour le préserver.

 

Copier-Cloner (3')

Une animation de Louis Rigaud

Les biotechnologies et les vaches.

 

Si la mer se meurt (20')

de Lorris Coulon , 2014

Un père, son fils. Une barque de pêche, un filet ramené toujours vide. L'enfant a faim et il n'y a plus de poissons dans la mer. Alors pourquoi, encore, réparer et lancer le filet ?

https://vimeo.com/109032848 (trailer)

 

Voix d'Amazonie (52')

de Lamia Chraibi, Lucile Alemany et Margerie David, 2014 (http://www.voixdamazonie.com/)

L'Equateur, premier pays à accorder une place primordiale à la nature dans sa constitution en 2008, doit aujourd'hui faire face à un compromis difficile entre croissance et respect de l'environnement. Jour après jour, l'exploitation pétrolière gagne du terrain. Comment les communautés s'organisent pour faire entendre leurs voix et quelles alternatives mettent-elles en place ?

https://vimeo.com/92201473 (trailer)

 

 

Au plaisir de vous y retrouver !